Il n’y a pas d’affaires Finkielkraut.
Il n’y a qu’une affaire de censure, censure de la parole, censure de la
réflexion, censure de la pensée. L’inceste qui existe et qui est très virulent
depuis le début des temps et qui n’a jamais faibli est une affaire de vision et
de conception de la société. De même que c’est dans les familles que le virus a
le plus de chance de se développer, c’est - et cela a toujours été - dans les
familles que se développent les choses des plus sordides, viols en tous genres
et violences morales et physique en permanence. Peut-être faudrait-il cesser de
glorifier le mariage, la ponte et la gloire des mères de familles nombreuses
mais aussi supprimer les allocations familiales qui, en fait, servent à
entretenir le vice d’un nombre très important de couples parentaux ignorants et
tarés, aussi bien dans les familles des bas-quartiers que dans celles bien
comme il faut des quartiers bobos de Paris où d’ailleurs identiques. L’homme
nait formaté par les générations précédentes, puis par les parents directs et
indirects et enfin par l’école, la religion et le système politique. D’enfant
il ne peut passer au stade d’homme parce que sa réflexion est altérée et
paralysée par les éléments qu’on lui a inculqués et qui ne lui appartiennent pas.
Et c’est pourquoi - redite indispensable - il lui est indispensable de se faire
décrasser pour accéder au stade d’adulte responsable et conscient. Et pour cela :
Freud. Seulement Freud. Rien que Freud.
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