La guerre chez les Berri dont l’un aurait violé sa fille il y a quelques siècles. Idem chez les Duhamel. Idem dans des milliards de familles dont les membres n’ont jamais réussi à accéder au stade adulte. Et ça se reproduit. Et ça se reproduit. Et ça se reproduit. Pourquoi comparer l’incomparable. On était moins délicat pendant la guerre de Cent ans que dans ces nouveaux temps où les pensées sont saccagées, humiliées, défaites, soumises à la tyrannie de quelques tarés et de quelques mouvements de haine. Comme disait ma grand-mère paternelle : « Lavez votre linge sale en famille ! » Elle était philosophe et poétesse ma grand-mère paternelle. Si l’on ne veut plus d’incestes, plus de viols, plus de violences verbales et physiques, il faut remettre l’homme - la femme est comprise dans le mot - totalement en question et lui apprendre la connaissance de lui-même avant de lui asséner que un plus un égale deux, ce qui est loin d’être une vérité. Il faut que l’homme - la femme est comprise dans le mot - cherche son miroir, le trouve, s’y regarde et le traverse avant toutes choses. Les thérapies de Freud sont le seul chemin. Le grand homme - il y en a peu en vingt siècles - sera-t-il réhabilité ce soir ? Ce soir c’est la première de « En thérapie » sur Arte. Il y aura toujours des chiens pour montrer du doigt et vilipender les certitudes du maître de la psychanalyse…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire