Albertine s'appelle je ne sais pas, délire à l'ultime râle vérifié en trois dissonances maquillées en grappes dans un berceau sans rives qui agglutine les molécules des filles. Dire ou taire dévisse les trognons piqués du rêve d'un houblon un peu slavon.
haG
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire