Anne-Sophie sublime dans l’ignorance de ses contradictions, de ses perversions, de ses narcissismes, de ses rêves allumés dans l’ennui le plus crasse, le plus épais, que même Arthur, en habit, ne parvient pas à l’imiter, ne sait pas que la jeunesse, la pire, a vécu dans une fausse netteté pressentie dans l’enfance, quand elle parlait le langage des autres sans l’expliquer.
haG
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