Jour de terreur, jour de l’erreur, jour de l’inconscience de l’adulte non abouti, en ce jour de la femme. Depuis l’aube des temps la femme est massacrée, découpée, écrasée, déchiquetée, réduite à néant. La femme est assassinée par sa propre chair qu’elle expulse violemment de son ventre sans que l’adulte en devenir qui deviendra très rarement et pour ainsi dire jamais, ait pu donner son consentement. La femme est coupable d’engendrer le monstre. Peut-être est-ce de ce côté qu’il faut creuser. Mais, si déjà son salaire inférieur de 26% à celui de l’homme passait à l’égalité, un grand pas serait franchi. Et ce dernier point est facile à régler : soit un décret du Roi de France entrant en vigueur dès demain matin, soit une loi votée par le parlement, en urgence. Qui va oser, parmi ces élus.es menteurs.euses, pervers.es et ignorants.es, faire le premier pas ? Quant à la violence, je ne vois que deux solutions : 1. La mise à mort de l’homme. 2. Pousser la porte du cabinet de Freud pour tous les êtres humains - femmes et hommes, sans exception - afin de les aider à accéder au stade d’adulte et de compréhension.
Ps : pourquoi n’aborde-t-on jamais le problème de l’homme violenté, de l’homme violé, de l’homme désincarné par la femme perverse ?
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