Et tous ces couillons qui vont se faire vacciner au Stade de France dans ce lieu sinistre dénommé « vaccinodrome », où pour avoir accès à sa dose il faut faire des queues interminables alors que la loi du Roi de France interdit le rassemblement de plus de 6 personnes. J’ai juré ne jamais me faire vacciner - je n’ai que 77 ans, donc vacciné contre toutes les pestes et les ignominies de la vie - et je vais me parjurer parce que je veux en priorité retourner à l’opéra - Lyon, Berlin, Barcelonne, Moscou, Vienne, Londres, Los Angelès, Pekin, Tokio - et parce que je sais que jusqu’à la prochaine révolution mondiale on ne pourra plus faire un pas sans un laisser-passer, les dictatures couvrant la totalité du globe. Aussi j’ai tenté de m’inscrire sur le site conseillé personnellement par SMS par l’Assurance Maladie qui indiquait de nombreuses dates mais avait oublié la page pour indiquer mon identité. J’ai renoncé. Hier j’y suis retourné. On ne vaccine plus. Il est indiqué qu’il faut attendre. Voilà. Retours au point zéro. Après tout, tant mieux. J’ai échappé à la mort et je n’ai plus qu’à attendre la mort des vieux.
Le danger n’est pas Corne à Virus mais le voile qu’il a déchiré et qui a mis au grand jour les horreurs de ce monde. Un pays qui tue sa culture est un pays à l’agonie. Un pays qui est incapable de faire des choix cohérents est un pays qui a cessé de vivre. Un pays qui nomme des gens pour être humilié, brutalisé, frappé, violé, massacré est un pays de grands psychotiques où même le grand Freud y perdrait son latin. Maudite soit la femme qui m’a pondu violemment sans me demander mon avis. Maudite soit la femme qui m’a propulsé dans la vie sans savoir ce qu’elle faisait, sans me donner le mode d’emploi et sans m’avoir conçu aveugle, sourd, muet et insensible. Pondre doit être un acte conscient, conscient de l’acte et conscient de ses conséquences.
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