vendredi 4 juin 2021

vu à travers le tube • la culotte de babette (pas celle qui s’en va en guerre)…

Le duo mythique Cohen (Patrick)/Lemoine (Elizabeth), le plus important et exécrable duo moralisateur depuis l’apogée de la religion catholique, celui qui manipule les français tous les soirs à 19h sur France 5 (sauf le samedi et le dimanche où il peaufine son venin de la semaine à venir), s’en est pris hier au professeur Raoult et l’a explosé comme aucune bombe hitlérienne n’a réussi à le faire. Le crétin qui sait tout et la dinde niaise, dont rigole même le caméraman qui film sa petite culotte en gros plan à chaque occasion, ne cessent de prendre la défense de l’enfant mal élevé, de l’adolescent immature, de l’adulte inabouti, qui se prend pour le Roi de France alors que quelques seulement 17% des français ont souhaité sa venue sur le trône de Charlemagne, de Louis XIX, de Napoléon, de De Gaulle, dictateurs avérés ou déguisés, ce qui est exactement la même chose. Alors que les français - et de plus en plus les 14-18 ans - se massacrent dans la rue, alors que la terreur règne dans les villes et les campagnes, le Roi sa balade pour dire que tout va bien dans ce joli pays carte postale, les journalistes crient au scandale parce que Zemmour parle sur Cnews, les services d’urgence ne répondent plus, l'Islam étant son ombre sur le pays, les politiques n’ont plus aucune crédibilité, les pauvres sont de plus en plus pauvres et les cinq ou six plus riches sont de plus en plus méga-milliardaires.

 

Cohen/Lemoine, je suis dans le camp des français qui vous emmerdent et qui ne veulent plus entendre le moindre conseil, la moindre injonction, le moindre propos moralisateur, tant que cette France purulente, anémique, prise dans le tourbillon de la folie furieuse, n’aura pas explosée, comme Cohen a explosé Raoult, et ne sera pas revenue à ses origines des aires précédentes afin d’être en capacité de créer la démocratie, espoir de l'égalité et de la liberté que réclame chaque être penseur. À ceux qui ne voient rien venir, je donne rendez-vous dans vingt ans. Je ne serai plus. Je ne vous souhaite pas bon courage, parce que c’est aujourd’hui que vous devriez en avoir. Le passé conditionne l’avenir.      


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