Delfraissy, un des nombreux logiciels de l’enfant immature Roi de France, persiste à jouer les trouble-fêtes. Il annonce aujourd’hui la 4e vague pour septembre. Il s’agit sans doute d’un complot - comme le complot de Mélenchon - pour que les français restent bien sages à la veille du renouvellement de leur Roi qui sera reconduit. Et voilà qu’après tous ces maux qui se multiplient, le mot « complot » prend la tête du langage politico-journalistique. Dans ce domaine - et dans bien d’autres - qui pourrait me dire qui ne complote pas. Moi, je déteste Alagna et Callas et je ne rate aucune occasion pour le dire et le redire en espérant les évincer de la chose publique, chose que je n’ai toujours pas réussie. Et oui ! Je complote, je complote, je complote, alors que d’autres nagent sans soucis dans des complotistes différents ou semblables au complotisme d’un Mélenchon, vieillard hargneusement maladif que je ne l’aime pas, comme je n’aime pas ses amis et ses ennemis. Je le redis : voter pour un homme - ou une femme -, c’est désigner son bourreau et ceci, quelque soit son bord politique. Le fait d’être élu aliène les pensées et les cerveaux et personne n’a jamais pu sortir de ce schéma destructeur, poison violent pour les populations. Tant que personne ne se rendra compte du danger de l’élection qui nomme toujours des petits chefs incompétents, alors qu’elle devrait approuver - ou non - des idées réalisables et positives pour l’égalité et la liberté de tous, la France - comme les autres pays - poursuivra son naufrage sans retour possible. Si l’on veut des hommes et des femmes qui prennent des décisions à notre place, il est impératif que ceux-ci aient accédé à l’âge adulte, ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui et depuis le début des temps. Et le chemin pour y accéder est le cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. C’est la seule solution. Les restes ne sont rien… rien… rien…
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