vendredi 2 juillet 2021

vu à travers le tube • l’homme est né bouffon…

Il l’avait dit. Il l’avait dit les yeux dans les yeux, lui derrière l’écran, les gogos devant. Le Roi de France avait dit que jamais, au grand jamais, la vaccination serait obligatoire dans la France libre qui n’a toujours pas inventée la démocratie. Et comme tous les Rois de France, les Louis, les François, les Henri, le Roi renie sa parole - c’est la force des Rois - et ouvre la porte à l’obligation de la vaccination. Et les gens, le peuple, va continuer à voter pour des Rois et très bientôt pour celui-ci qui va continuer à promettre et à renier en continu et sans se poser la moindre question. En quoi le menteur serait-il coupable puisqu’il est plébiscité pour trahir. C’est comme Alagna - la pitoyable doublure de Mariano -, pourquoi persiste-t-il à chanter ? C’est parce qu’il est plébiscité par les vieilles dames des manoirs hantés et les jeunes donzelles des couvents, en mal de mâles séduisants jouant à Don Juan.

 

« Tout dans ce monde n’est que farce. L’homme est né bouffon. » Ainsi se termine le célèbre et sublime « Falstaff » de Guiseppe Verdi, son dernier opéra écrit à l’âge de 80 ans. C’est la bouffonnerie de la vie, et à tous les étages, que le compositeur a décrite ici. À voir et à enregistrer dans sa mémoire, comme le monde entier l’a fait pour « Twin Peaks, le retour » et « P’tit Quinquin » devenu « Coincoin et les Z’Inhumains ». En y analysant tous les recoins, on comprend que la vie n’est rien et que son passage obligé n’aura été que l’œuvre d’un pervers sadique qui aime voir souffrir les humains. Certains l’appellent Dieu. Moi, le l’appelle Homme.   


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