Ces manifestations du samedi, ces manifestations d’un peuple en colère, ne sont pas vraiment pour dénoncer les mesures liberticides prisent en raison d’une méchante Corne à Virus qui mute, qui mute et mute encore et qui ne veut pas débarrasser le plancher, mais pour dénoncer un régime qui s’éloigne de plus en plus de la possibilité d’inventer la Démocratie, mot qui, comme le mot Dieu, n’existe pas et n’a jamais existé. J’ai suivi intégralement - sur Brut - le rassemblement à Paris et je n’ai entendu crier, hurler, mais aussi chanter, que le mot LIBERTÉ. Le peuple de France en a assez de cet enfant capricieux, adolescent inabouti, toujours pendu au téton de sa maman qu’il a épousé par commodité, dont la pensée est restée fixée sur le mot duo « pouvoir absolu » et qui ne comprend strictement rien au fonctionnement de l’être humain. Alors qu’une majorité souhaite sa démission, ma voisine de palier m’a demandé par qui il se ferait remplacer s’il s’en allait. La dame n’a rien compris, mais elle a de l’intuition. S’il s’en allait, le Monarque ne devrait pas - ne devrait pas - nommer son successeur pour qui la nomination au poste suprême revient au peuple. Et comme on sait que voter c’est tricher, un autre Seigneur, d’un rang élevé, prendra le pouvoir et continuera l’œuvre de l’enfant, humilier le peuple et le réduire à rien. Mais le vrai coupable n’est pas - en partie - Macroncron, même s’il est coupable d’être, mais son prédécesseur au képi kaki, le militaire grand de taille, marié à une femme petite de taille, Soldat 1e Classe De Gaulle. C’est LUI qui a inventé la Constitution scélérate qui bousille nos vies depuis 1958. C’est cette constitution qu’il faut brûler et renier à tout jamais. Depuis Louis le 16e, la France est censée ne plus avoir de Roi. Perdu ! Foutu ! On n’en a jamais autant eu. Il faut inventer la Démocratie et pour cela créer l’homme qui, inabouti parce qu’incapable de franchir le pas qui mène à l’âge adulte, doit faire entrer dans sa pensée sa propre image en poussant la porte de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Alors… on pourra reparler de toutes ces absurdités, de toutes ces erreurs, de toutes ces blessures, de tous ces meurtres, qui ont guidé les cheminements de l’humain. L’erreur peut être réparée, mais il faut faire vite. L’eu et le feu dominent déjà et contre eux, je ne vois AUCUNE solution.
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