En fait, la journée d’hier a
été dominée par Vanhoenacker, humoriste-journaliste politique France-Inter,
accusée d’antisémitisme après avoir collé les moustaches d’Hitler sous le nez
de Zemmour, et par Zemmour - essayiste-polémiste et chroniqueur sur Cnews - qui
a commencé une tournée triomphale en France pour présenter son nouveau livre,
faisant ainsi d’une pierre deux coups au cas où il viserait le poste de Monarque-Roi
de France, succédant ainsi à Charlemagne, à la flopée des Louis, à Napoléon, et d’autres
espèces de ce genre. Vanhoenacker est une stupide connasse vissée au pouvoir
macronien. Zemmour est un convaincu du désastre de la France et de ses crapauds
baveux et rampants, ce qui fait qu’il parle autrement. Je ne juge pas. Je
constate. Et comme je ne vote pas, je me fiche de savoir qui veut à tout prix
poser son cul sur le trône royal pendant cinq longues années pour y chier et s’y
faire chier.
Marthe Mercadier, une grande actrice d’un autre temps, est morte. À peine
une ligne sur les journaux papiers. À peine un mot dans les radios et les
télés. Belmondo, un comique de rue sans talent est mort. Le monde entier a crié
sa douleur et le Roi est même allé jusqu’à lui serrer la paluche dans la cour
des Invalides comme s’il avait fait quelque chose dans sa vie. Pierre Boulez,
le dernier des grands compositeurs français, et plus encore, est mort lui
aussi. J’attends toujours l’hommage national qui lui est dû.
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