Lentement, certes, mais Jean-Jules Lapierre fait trop de gestes pour que ce soit entièrement faux. Ce n'est pas entièrement vrai non plus. Qui paraphrasent les mots, les gestes, les formes des autres ou de soi-même, méprisent ce qui les a précédés, et qu'ils s'épuisent vainement à réduire au dicible. En prose, en vers, en essai, des mots libres de ressentir.
haG
d’après Lucie Raulin
Depuis...
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