Donc, selon certain, on serait adulte à 16 ans, âge où on est en pleine confusion des comportements et des sentiments, âge où la certitude incertaine guide nos pensées et nos actes, âge où on projette plutôt que vivre parce que tout est sables mouvants. Il est vrai qu’à 40, 50, 60 ou même 70 ans, rien n’est vraiment changé pour l’immensité de l’immense majorité. Être adulte, c’est avoir conscience de son inconscient et être conscient des différences. Certains, une petite minorité, sont en capacité. Pour les autres, jusqu’à la fin, ils auront cru vivre alors qu’ils n’auront été que morts-vivants. C’est pourquoi voter à 16 ans n’est pas compatible avec le principe qui veut que l’électeur décide en pleine conscience de ses idées – ce qui en fait est rare pour ne pas dire inexistant -. Voilà bien – et une fois encore – le genre de proposition électoraliste qui est mise sur la table pour amuser la galerie et détourner des véritables problèmes.
Comment est-ce possible qu’entre la pub dentifrice et la pub épluche pommes de terre, on doive subir une pub pour inciter à financer les larbins-godillots de l’inexistence du Dieu des cathos – inexistence valable pour les Dieux des autres larbins-godillots de l’inexistence . Cette porte ouverte sur l’absurde et l’esclavagisme renforcés des pensées confirme bien les paroles de celui qui a dit : « Le XXIe siècle sera religieux ou ne sera pas ! » J’espère que ce siècle où les dictateurs se réveillent et ou les sectes reprennent le dessus va cesser ses ignominies. J’appelle de tous mes vœux un réel tsunami ou cinq ou six mégabombes atomiques pour faire éclater cette sombre planète et pulvériser cet être indigne d’être, nommé Homme.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire