« Je vous emmerde ! » On serait en droit de penser que les déclarations du Roi de France, déclarations qui ne peuvent passer dans un pays qui se dit républicain et démocratique, soulèveraient un tel tollé, qu’avant la tombée de la nuit, le souverain aurait été arrêté et exécuté sans jugement. Mais non ! Après les coups de sang d’usage, les crapauds bien français, bien rampants et bien bavants, vont reprendre le cours de leur vie, avec leur petit masque, leur petit laisser-passer dans la poche et leur peur de mourir poignardé par Covid, alors que c’est de honte qu’ils vont perdre la vie. Le Roi, l’enfant immature, inabouti, qui a stoppé sa progression au stade du tétage du téton de sa maman dont il a épousé le clone, a encore provoqué dangereusement et dans cette France minée par la haine, par la fissuration, par la déstabilisation, par l’incompréhension, par le n’importe quoi à tous les étages, par les ruines de l’école et de l’hôpital, par le non-sens des pensées et des mots, plus personne ne comprend. Moi, je sais que le gargarisme permanent avec les mots « république » et « démocratie » sont des paravents destinés à cacher la dictature qui prend forme sous nos yeux, alors que personne ne le voit. Je sais que la politique ne peut rien résoudre de même que la médecine est totalement inapte à nous faire vivre. Rien ne changera si nous ne revenons pas à la fondamentale. La société ne peut se construire sans les cinq éléments de base auxquels nous devons faire confiance : l’apprentissage, le savoir, la ténacité, l’intuition et le hasard. Et pour les acquérir, nous devons pousser la porte du cabinet de Freud, y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder s’y reconnaître et le traverser. En cette période de pandémie, période qui n’est que le début de l’ère des virus, je n’ai pas entendu un seul crapaud évoquer la psychanalyse. Et pourtant… notre corps n’est que l’esclave de notre psychisme. Les maladies n’atteignent que ceux qui en ont le désir. Il est plus facile de vivre mort que de vivre en vie. La vie demande des engagements. La mort ne réclame rien. Et pour finir, je vous renvoie à l’épidémiologiste invitée ce matin, après le journal de 8 heures sur Europe 1. Je résume ses propos : nous vivons dans un monde de fous où les décisions sont prises pas des fous. Les vaccins et les passes-où-je-t'extermine, la font doucement rigoler…
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