Dans ce monde qui n’a jamais tourné rond, mais toujours en rond sans port d’attache, il n’est pas étonnant que de l’autre côté de l’Atlantique on s’apprête à interdire l’avortement et qu’ici - du côté d'en face - le pire des pires - Mélenchon - s’apprête à déclencher un coup d’État avec l’ensemble des traitres qui survivent dans les caniveaux. Et personne - ni les faibles ni les puissants - ne rougissent de honte et même n’en crèvent pas. La politique n’a toujours été que le contenu des fosses septiques, mais aujourd’hui elle est devenue - en plus - l’expression du vide sidéral de la pensée. Elle ébranle le monde dans une marche arrière étourdissante qui ne peut que finir dans le feu ravageur des fins de civilisation. Le monde entier est passé maître dans l’art de dire tout et son contraire et d’utiliser le mensonge et la trahison pour faire croire qu’il est encore en survie. La mort a tout englouti et seule l’illusion peut faire croire que passent sous nos fenêtres quelques débris de vie. Vous, vous tous, vous n’avez toujours rien compris et je ne vois pas pourquoi vous changeriez puisque rien de ce que j’écris depuis des années attire la plus petite parcelle de votre attention, quand vous en avez. C’est la porte de Freud qu’il faut pousser pour résoudre nos problèmes et pas celle de Mélenchon, de Macron, de Zemmour, de Jadot et autres rigolos. Il faut pousser la porte de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Le monde nouveau - vous - peut alors vous apparaître et les chemins nouveaux vous guider à l’intérieur des secrets de votre être. Vous aurez alors vécu hors de la mort et vous aurez, sans doute, inventé la Démocratie qui attend depuis des millénaires le moment de voir le jour. Ne rêvez pas trop. Votre libération, ce n’est pas pour demain.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire