Les fusillades se perpétuent aux États-Unis et font de plus en plus de ravage. Et les armes restent toujours en vente libre. Les fusillades se perpétuent en France – Marseille ou ailleurs - et font de plus en plus de ravage. Ici, dans le pays le plus évolué du monde, parce que nulle part ailleurs on ne peut rivaliser avec l’intelligence supérieure de ses habitants, les armes sont interdites et pourtant plus de la moitié de la population en possède et un nombre impressionnant de voyous n’hésitent pas à les sortir de leur cachette pour les faire éjaculer dans la rue. La France est vraiment au-dessus de tous les autres pays grâce au prestige mondial de son Roi et de son armada de nains de jardins qui l’entourent. C’est aussi le pays au-dessus des lois élémentaires qui tous les jours enterre un peu plus la justice qui maintenant se fait sur les plateaux télés et dans l’écran d’internet. On y juge surtout les hommes qui sont coupables d’exister. Ces deux ou trois derniers jours, on jette en pâture un handicapé qui aurait savamment violé deux femmes, alors qu’il lui est impossible d’ouvrir sa braguette et encore moins de baisser son pantalon. Il est vrai qu’il s’est peut-être servi du capuchon de son bic qui lui sert à prendre des notes au conseil des Godillots-Ministres du Roi de France ! La femme devient un danger public et il serait temps de légiférer sur son cas relevant de la psychiatrie. Moi, homme garanti d’origine, la première fois que j’ai été violé, c’est par la femme qui m’a brutalement éjecté de son ventre pour me laisser choir sur cette terre couverte de monstres qui vivent dans des marmites géantes de bouses. Je n’ai rien demandé. Je n’ai jamais réclamé la vie. Si je suis là, devant mon ordi à écrire des mots que personne ne peut comprendre, c’est que j’existe contre ma volonté. Je ne suis donc coupable de rien. Le monde est une vaste fumisterie, néfaste à toutes pensées. Si la femme déteste l’homme, qu’elle cesse de le harceler, qu’elle cesse de se laisser pénétrer, qu’elle cesse d’épouser, qu’elle cesse de pondre des mâles ennemis et contraires à ses idées. Et puis, puisque je ne l’ai pas encore écrit aujourd’hui, cette femme qui est en train de détruire ce qui est détruit depuis toujours, devrait se poser les vraies questions. Et l’homme devrait faire de même. Si on en est là depuis l’éternité, c’est que jamais personne – ni la femme, ni l’homme – a enchaîné les « pourquoi » jusqu’à extinction. Si l’une et l’un étaient en capacité de pousser la porte du cabinet de Freud, d’y chercher son miroir, de la trouver, de s’y regarder, de s’y reconnaître et de la traverser, toutes ces questions inutiles et bouseuses n’auraient pas à être posées. L’histoire s’arrête là parce que la fin heureuse, personne n’en veut.
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