mercredi 6 juillet 2022

vu à travers le tube • le serpent qui se mord la queue…

Des marmites de journalistes ne cessent de nous expliquer les tenants et les aboutissants de la guerre en Ukraine, chacun à sa manière, en brouillant les pistes afin qu’on ne comprenne rien. Les peuples ne doivent pas savoir. Ils doivent payer et ici, payer de leur vie. Poutine serait donc un grand malade psychique qui refuserait de pousser la porte du cabinet de Freud et Zelinsky un sublime poète reconverti en perfide dictateur qui chevauche à la tête de son armée sans se préoccuper de sa vie. D’un côté un méchant et de l’autre un héros. Depuis le début du monde, les guerres n’ont jamais cessé. Elles ont toujours eu pour but l’évangélisation ou la destruction de l’authenticité de l’autre afin que des fous, au sens propre du terme, puissent régner sur le monde et manipuler les populations toutes entières. Ce n’est que ça la guerre, vitale pour assurer et assumer sa virilité, vitale pour détruire afin de tout reconstruire tout comme avant et de recommencer éternellement. La guerre est l’unique préoccupation de l’homme de pouvoir. Elle l’a toujours été et le sera toujours. Il y a encore des niais sur cette terre pour voter. Voter pour un - ou une – gugusse qui promet monts et merveilles. Avez-vous déjà vu un élu qui tienne sa promesse ? Si oui, faites changer vos yeux ! La guerre, elle sera encore là, à 15 heures, à l’Assemblée où les méluchiens féroces et bavant leur rage vont tout faire pour exécuter la vieille dame qui vient égrener les mensonges habituels, propres aux godillots du Roi de France. Mais tout ça, c’est vous qui l’avez voulu, par votre action de voter et par votre impassivité devant l’extermination de l’homme. Le danger n’est pas le climat, ni la bombe atomique, ni le stupide covid, mais l’homme lui-même et rien que l’homme. Rien ne changera et tout s’amplifiera tant que ce sombre imbécile n’aura pas compris qu’il lui est possible de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Il est vrai que pour qu’il le comprenne, il faudrait libérer sa pensée de tous ces ignobles et multiples viols qu’elle a subis depuis sa conception. Et pour ça, il faudrait pousser la porte du cabinet de Freud… le serpent qui se mord la queue !      

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