mardi 12 juillet 2022

vu à travers le tube • le tsar et le clown…

La querelle entre Clown Zelinski et Tsar Poutine se poursuit et fait beaucoup de morts et détruit beaucoup de maisons. C’était pareil en 14-18 et pareil quand Jeanne qui avait une dent contre les anglais – les anglais se sont vengés : ils l’ont brûlée toute vive – et qui pendant cent ans a fait tuer beaucoup de gens. Comme dit très justement ma voisine de palier : « Serait-ce possible de faire une omelette sans casser des œufs de poules ? » La guerre c’est fait pour faire beaucoup de morts et renouveler les mobiliers pour que les plus riches s’en mettent plein les poches. Alors que viennent faire dans cette histoire - qui plus tard fera des très beaux films - les tribunaux qui veulent juger les valeureux guerriers qui ont beaucoup tué ? Et si au lieu de s’occuper de ces deux merdes, on s’occupait des abrutis qui, chez nous, - très souvent dès 10 ans – vendent de la drogue, détroussent les vieilles dames, roulent sur des motos à une seule roue arrière, terrorisent les habitants de leur quartier, viols des jeunes filles dans des caves, bref, je parle de la marmaille qui a des  parents criminels qui ont copulé dans l’ignorance la plus absolue et qui viennent pleurer quand un de leurs misérables et minables rejetons se fait tuer par la police quand ils tentent de lui échapper. Je suis un ennemi de l’autorité. Mais les bornes étant dépassées et le monde refusant Freud, tirer sur le délinquant et le tuer me parait être la solution, pour le moment. Quand le monde de l’ignorance – toutes les classes sont concernées - aura compris qu’il existe une thérapie qui lave, qui nettoie, qui astique, qui libère la pensée et qui ouvre la porte au savoir, ces immondes conneries ne seront plus. Se débarrasser de tout ce qu’on nous dit, voir et ne plus regarder, écouter et ne plus entendre, apprendre le lien qui est partout et entre tout, est sans doute la solution à la déchéance de cette société puérile qui croit toujours aux dieux falots, aux rois pervers et à l’ignominie du bulletin de vote dans l’urne. Moi, je marche avec Freud alors que vous, vous vous trainez avec vos illusions. La seule différence, c’est que je vis – plus pour très longtemps – alors que vous, vous êtes morts depuis l'éternité, depuis le jour où la femme vous a fabriqués dans son ventre. Sinistre instant.   

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