Il parait que la rentrée politique s’annonce chaude. Elle est brulante-bouillante. Mais le peuple poursuivra son train-train comme ses représentants. Après des siècles et des siècles d’existence, on peut les qualifier - en étant certain de ne pas se tromper - d’aveugles, sourds et muets. Ce n’est pas le pouvoir d’achat ou la réforme des retraites ou la pauvreté éclatante et envahissante qui sont les VRAIS sujets. Ce sont les meurtres quotidiens du tout-venant, sous aucuns prétextes, ce sont les zones de non-droit conquises par la vermine qui pousse sur notre terre et qui viennent des terres étrangères et surtout musulmanes, c’est la pitoyable incompétence ce ceux qui fabriquent des enfants et les pondent pour les maltraiter par sadisme et avidité de pouvoir, mais aussi et surtout par ignorance, une ignorance crasse tellement immonde et énorme qu’une seule vie ne suffit pas pour en faire le tour, incompétence de ceux que l’on appelle « parents » et qui ne sont que des criminels rémunérés par la Sécurité Sociale et que l’on peut évaluer à pas loin de 80% de la population. C’est cette société fracassée et achevée par le dernier Roi de France en place - je le nomme : Macron ! Macron ! Macron ! - qui est le SEUL sujet, même si sa durée de vie est comptée, le Roi adolescent inabouti nous entrainant dans une guerre définitive et sanguinolente avec son ami Popeye, gourou dévoyé de l’Ukraine. Qui va venir au secours de cette France que Janette - la jeune Jeanne de Dumont - aimait tant et voulait débarrasser des sauvages indigènes anglais et de leur Grand Inquisiteur l’Évêque Pierre Cochon ? je ne vois personne pour insuffler une vie nouvelle et saine à notre pays moribond, parce que ceux qui croient sincèrement que pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et le traverser, se comptent sur une seule main aux doigts amputés. C’est pourtant de ce seul côté qu’il faut regarder si vous avez enfin compris que le politicien, le philosophe, le médecin, le chercheur et la machine à café, ne sont que des riens qui s’ajoutent à des riens qui ne produisent que des riens.
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