lundi 19 septembre 2022

vu à travers le tube • et toujours et encore cette société de tarés…

Commence aujourd’hui le procès d’une conductrice de car qui aurait franchi un passage à niveau, barrière fermée ou barrière ouverte, ou barrière ouverte ou barrière fermée. Elle affirme qu’elle était ouverte. Des morts évidemment. Premier coupable : la SNCF qui n’a toujours pas supprimée ses passages à niveaux. 2e coupable : le département ou la communauté des communes qui continu à transbahuter des enfants dans des cars tous les jours avec des itinéraires dangereux. 3e coupable, l’Éducation nationale qui n’est pas capable de construire des écoles à proximité des habitations, une par quartier, de la maternelle à la terminale. Il est scandaleux de bourrer des enfants dans des boites de conserve, deux heures par jour pour aller à l’école, avec non seulement les dangers de la route, mais aussi les dangers rencontrés dans tous transports en commun. Quant à la conductrice, ça m’étonnerait beaucoup qu’elle se soit dit en se levant ce matin-là : « Allez, c’est bon ! Aujourd’hui, je me massacre quelques enfants ! Biden a mis son armée en ordre de marche pour faire sauter la Chine au cas où celle-ci titillerait Taïwan. Le vieillard sénile veut à tout prix faire sauter la terre avant la fin de son mandat. Mélenchien a souligné le courage de Quatennens le rouquin qui était bien placé pour lui succéder. Rousseau et Coffin, les deux déboulonnées de l’humanité, se donnent à fond et tiennent fermement la tête du méchant mari sous l’eau, jusqu’à ce que mort s'ensuive. Et la France, qui a besoin d’un sujet de conversation puisque ce soir la Reine sera enterrée et que les radios et télés n’auront plus rien à proposer, va pouvoir gloser sur les agissements du criminel de guerre coupable de trahison envers ses électeurs à qui il avait juré qu’il allait mettre fin aux violences faites aux femmes. Je ne le défends pas, mais je ne peux le condamner tant que les violences faites aux hommes - par les femmes - ne seront pas inscrites dans la loi. Les violences dans les couples doivent être traitées de manière égale. Le nombre d’hommes violentés et humiliés chaque jour est énorme et personne n’en parle. La femme n’est pas une oie blanche. L’homme n’est pas un gentil petit garçon. La perversion est leur point commun. Ils sont coupables tous les deux. L’un d’agresser, l’autre de se laisser agresser. Ce problème ne peut être réglé que par la justice et par la thérapie psychanalytique de Freud. Si Quatennens en est là aujourd’hui et si deux folles tarées imbéciles le massacre, c’est que ni les uns, ni les autres ont poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher leur miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Dommage, le sujet d’aujourd’hui aurait probablement plus de couleurs.    


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