dimanche 18 septembre 2022

vu à travers le tube • on change tout et rien n’est changé…

La République en marche est morte, vive Renaissance, retour à 1495-1530. MoDem et Horizons, Bayrou et Philippe, désertent la chose. Le grand parti de la propagande macroniste voulu par le Roi de France, n’est plus qu’une association de quartier formée de sans-culottes en culottes courtes. C’est Séjourné, un exécutant du Monarque qui en a pris la direction et qui est chargé de préparer la succession du chef Micron en les personnes de Le Maire et Darmanin dont l’un des deux deviendra Roi de France, sauf s’il est battu sur le fil par Le Pen ou Zemmour ou Coffin Alice. Bof ! Rien ne changera. Personne ne peut arrêter la chute du monde - effective avant deux ou trois décennies - dans le noir du trou du fond de mon puits au fond de mon jardin qui est déjà bien rempli. Cette affaire est donc l’amusement du jour avec les queues que jamais on a vu aussi longues et aussi dures qui tournent autour du cercueil d’une Reine morte qui n’aura été que du rien. Et c’est ce rien qui remue les foules ! Et on continue à parler de crimes de guerre chez Popeye. Mais enfin, qui a déjà vu des guerres sans crimes ? La guerre, c’est fait pour faire souffrir les innocents et c’est pour cette raison que les salauds au pouvoir les organisent régulièrement. Le monde, depuis qu’il est monde, n’est pas resté un seul jour sans une guerre et sans que les commanditaires de délectent des effets de leur surpuissance voulue par les peuples qui aiment s’humilier devant les Dieux et les Rois. Cette guerre dite « Ukraine » n’est qu’une normalité. Si Poutine ou Biden n’appuient pas sur le bouton rouge, elle s’évanouira sans même qu’on s’en aperçoive et une autre commencera. L’homme, un enfant qui joue à la guerre, est fait ainsi. Se battre, encore se battre et toujours se battre contre les moulins à vent alors qu’il serait si bien allongé dans l’herbe verte regardant fleurir ses pissenlits. Oui, l’homme est un enfant qui devient un ado inabouti et il en reste à ce stade jusqu’à ce que la mort le prenne en charge et le délivre de toutes les horreurs qu’il s’est inventé pour ne pas avoir honte d’avoir l’envi de retourner dans le ventre de la femme, le ventre qui l’a si méchamment expulsé alors qu’il n’avait rien demandé. Ce n’est pas d’un nouveau Roi, d’un chef, d’un décideur à sa place, qu’il a besoin, mais de la thérapie de Freud qui consiste à chercher son miroir, à le trouver, à s’y regarder, à s’y reconnaître et à le traverser. C’est tout. Rien d’autre. Est-ce donc si compliqué ?  

 


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