vu à travers le tube • homos, trans et tout le cirque…

« Nous dénonçons aujourd’hui le traitement que réserve Wikipédia aux personnes trans, non binaires et intersexes. Nous avons relevé au sein de Wikipédia la répétition de comportements stigmatisants, soit par ignorance, soit par réelle volonté de nuire. Ces comportements nocifs visent autant les personnalités publiques que les personnes trans au sein de la communauté encyclopédique. » Tribune signée par une quarantaine de « personnalités » dont Virginie Despentes, une gratte-papier complétement tarée. La maladie de la persécution de certains - beaucoup aujourd’hui - commence à me taper sur les nerfs. Tout petit, à l’école, j’ai appris que l’homme était différent de la femme parce que lui, portait un bâton alors qu’elle, portait un trou destiné à recevoir le bâton. Tout petit, au catéchisme, j’ai appris que Dieu avait créé l’homme et qu’il avait créé la femme, ensuite, pour éviter qu’il ne s’ennuie. Voilà donc la vérité toute nue sur les origines et l’existence de l’homme. Tout le reste n’est que du pipeau et je prie les pipautistes - ancêtres des flûtistes à bec - de m’excuser de mon expression expressive et descriptive. Les trans, les homos et toute la clique, ne sont que des êtres au psychisme inabouti. Et s’ils se sentent mal dans leur peau, je peux leur donner l’adresse d’excellents psychanalystes freudiens qui pourront les aider dans leurs parcours cornéliens, ce qui évitera de venir nous faire chier avec les grands malades qui veulent faire entrer tout le monde dans le même moule. Nous sommes tous - très - différents et nous devons nous assumer que nous soyons petits ou grands, maigres ou gros, bruns ou blonds, idiots ou intelligents, sachants ou non-sachants, savants ou ignorants, wagnériens ou vartaniens, poissons ou capricornes, rats des villes ou rats des champs. Ayant rejeté les fondamentales, nous ne sommes plus sûrs de rien. Et c’est pourquoi il est indispensable de rejeter tous les conseils des faux psys en tous genres si nous ne voulons pas mourir cocus. Faites comme moi. Poussez la porte du cabinet de Freud, cherchez y votre miroir, trouvez-le, regardez-vous, reconnaissez-vous et traversez-le afin de tisser le lien indispensable entre votre conscient et votre inconscient. Le monde sera alors tout autre et vous comprendrez enfin dans quel piège odieux la femme vous a éjecté. Et c’est alors que vous serez capable de déjouer le sort maléfique qu’elle vous a méchamment jeté.