Popeye Zelinsky, grâce à sa cure d’épinards William Saurin et à l’abondance d’armes et de dollars généreusement offerts par une partie du monde, dont la France milliardaire qui a pour Roi Micron II son plus friand copain, est plus fin Général guerrier que Napoléon. Il est tout près d’exterminer la Russie et de pendre le Tsar Poutine pour prendre sa place. Ses valeureux soldats surdosés vont bientôt crier victoire et fêter ce moment unique avec vodkas en tous genres et femmes bien obligées alors que leur glorieux Popeye va recevoir des mains du Roi de France la breloque géante, jaune or et rouge sang. Quel beau, magnifique et merveilleux spectacle que nous offre Barnum et son cirque de monstres crasses et hideux. Et le monde poursuit sa descente dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. La désinformation n’est pas sur les réseaux sociaux qui ne sont que des lieux où les gens - je suis un gens - confondent la plateforme avec le cabinet du psychanalyste. Ils se défoulent et c’est mieux que rien. La différence entre les gens et moi le gens, c’est que contrairement aux milliards d’autres gens, j’ai fréquenté Freud pendant des décennies sans jamais rater une séance et ensuite, je suis allé sur les réseaux sociaux en espérant dans mon immense et cupide naïveté que je pourrais faire comprendre que si le monde est pourri, pu la merde et n’est même pas digne de la queue d’un poireau, c’est qu’il ignore qu’on ne peut vivre sans le lien indispensable entre notre conscient et notre inconscient. Et ce n’est que chez Freud qu’on l’invente, le fabrique et le forge. Pour moi le travail est fait et tous les jours, je le perfectionne. Pour les autres… tant pis ! Vivre dans le noir, dans la mort, dans l’inconscience, c’est aussi une manière de ne pas vivre. Mais surtout que personne ne s’inquiète. Les Popeye, Micron, Badine et autres misérables les ont déjà mis dans la charrette la baïonnette au cul. Ça avance… ça avance…
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