Hier, Micron II Roi de France - le seul qui a le pouvoir
absolu et qui décide seul - a lancé sa deuxième bombe 49-3, éliminant ainsi ces
impudents parlementaires qui voudraient contrer ses projets. C’est ça la
république française. Le Monarque décide. La France courbe l’échine et entame le
chœur des esclaves : « Merci Ô Roi Divin ! » Le
problème est que ce n’est pas ça la démocratie, toujours pas inventée. Bof !
Mon puits au fond de mon jardin est plein et déborde. La vie de l’homme est sur
sa fin. Les bombes atomiques vont se percuter pendant que les femmes à zizi, à
peine au pouvoir, se verront égorger par la horde sauvage des islamistes. La
mort… Encore la mort… Toujours la mort... dit un jour Carmen avant de se faire
justement poignarder par un brave homme qu’elle a rendu fou.
Philippe Aïche est mort. Vous ne le connaissez pas. Moi non
plus. Il était le 1e violon solo de l’Orchestre de Paris depuis 37
ans. Il n’avait que 59 ans. Il a consacré sa vie à Beethoven, Schubert, Tchaïkovski,
Mahler, Stravinski, des héros comme lui qui ne mentaient pas aux populations et
ne les rabaissaient pas au rang de balais de caniveaux. Il n’aura droit à aucun
hommage national parce qu’il ne jouait pas au ballon. Il ne jouait que du
violon. Les radios et télés n’en parleront pas 24h/24 parce qu’il ne participait
pas au jeu pervers, laid et vicieux des politicards et des journaleux. Merci Philippe
Aïche.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire