vu à travers le tube • quatennens pour prétexte…

Quatennens condamné à 4 mois de prison avec sursis pour une gifle qu’il aurait donné à son épouse et dont personne n’a la preuve puisque personne n’était sur les lieux du crime. Son aveu n’était peut-être qu’une trahison de son psychisme. Que sait-on de la vie privée du mélenchien et de ses rapports avec celle qu’il a crue aimer ? Avez-vous la preuve qu’elle ne l’a pas poussé à bout ? Avez-vous la preuve qu’elle ne lui a pas rendu la vie impossible ? Avez-vous la preuve que leur relation n’était pas un fleuve tranquille où ils badinaient comme des enfants innocents ? Vous n’avez rien. Vous ne savez rien. Et, de plus, cela ne vous regarde pas. Madame, qui avait déposé une main courante, ne voulait pas que cela se sache. Cela s’est su inévitablement. Et plus tard - PLUS TARD - elle a déposé une plainte pour violences permanentes. Madame a-t-elle agi seule et de son propre gré ? Madame est-elle manipulée ? Madame a-t-elle la maladie de la persécution ? Peut-être oui ! Peut-être non ? Qu’en sait-on ? RIEN. Et les radios et télés papotent comme sur les marchés ou les sur les terrasses de café pour en tirer toujours la même conclusion : l’homme est un salaud. 563 fois par jour, j’entends dans l’écran et dans la rue des gens bien comme il faut - il y en a beaucoup, énormément, plus énormément, qui savent ce qu’est le bien comme il faut - crier en levant le point : « On ne frappe pas une femme ! » Ah bon ! Donc, on peut frapper un homme ? Un homme n’est donc qu’une merde dont on peut dire et faire n’importe quoi ? C’est donc ça les nouvelles normes en vigueur ? Sommes-nous donc voués à vivre sous le régime despotique de Rousseau, des écolos, de Mélenchien, de tous ces cerveaux au psychisme fêlé, déglingué, suant la moisissure ? Si le micronisme est terrifiant de perversités, de mensonges et de vides sidéraux, les précités sont des fous furieux qui se voient déjà dans la peau des Dieux pour massacrer la mythologie, source de nos fondamentaux. Allons ! Assez de naïveté ! C’est fini. Tout aurait pu s’arranger si, au lieu de s’occuper de Covid, de la grippe, du verglas sur les routes et de la faillite énergétique, l’homme s’occupait de lui et de lui seul en poussant la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Rien à rajouter…