La vérité : l’Europe a déclaré la guerre à la Russie
sans se poser la moindre question. Elle a dit au dangereux psychopathe Zelenski
que les armes qu’elle lui envoyait étaient destinées à défendre son pays et non
à attaquer son voisin. Aujourd’hui, elle lui refuse ce qu’elle va lui donner
demain : les missiles à longues portées. La folie ne s’est pas emparée des
hommes. Elle est en eux depuis l’aube des temps. Les guerres n’ont jamais été entre
les peuples, mais entre leurs dirigeants. Et si les conflits ne se réglaient qu’entre
ceux qui ont le pouvoir. On pourrait organiser un duel à main nue entre le Tsar
et le Président corrompu. Et le peuple ne serait que le public acclamant ou
sifflant les vaillants combattants. Plus besoin de tanks, de missiles et de
bombes atomiques. Plus de destruction des populations. Seulement un gagnant et
un perdant. Le gagnant aurait le droit de monter et descendre les Champs-Élysées
toute une journée, sous les hourras des foules, et le perdant serait condamné à
faire la plonge deux jours durant, chez Bocuse, sous les sarcasmes des clients.
C’est comme cela que je vois le monde. Voter pour un musclé n’est pas plus idiot
que de voter pour un énarque !
Stephan Eicher a dit qu’écouter Bach remettait tous ses
neurones en ordre. Hier, Francis Huster a dit que pour sauver l’école et la
jeunesse - et la France -, il fallait faire déclamer du Molière deux heures par
jour, des classes préparatoires à la terminale. Alors ? Lorsque les
conseils sont bons et judicieux, pourquoi se sont-ils pas appliqués ?
Aboutir n’est que l’affaire de Freud. Alors pourquoi le laisse-t-on à la cave,
dans le noir, avec les rats ? Là est la vérité !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire