Il est curieux l’homme et son psychisme inabouti. Au Théâtre national français une poignée de stupides et dangereux chiens mélenchienistes, insulte à longueur de journées la poignée de gens en habits du dimanche qui est assise à l’autre bout de l’hémicycle. Et pendant ce temps, le théâtre fait relâche sans se préoccuper du public qui a payé sa place. C’est ce qu’on appelle, en France, la démocratie encore abimée par l’omniprésence d’un Roi dictateur d’une immense et intolérable perversité qui ne peut exister dans les pièces programmées. Et puis, il y a aussi cet étrange engouement pour le fou furieux qui veut assassiner le Tsar de Russie et qui réclame à tous les pays du monde des milliards de millions pour âtre armé jusqu’aux dents afin de jeter une bombe dans la salle de bain de Poutine au moment où il brosse ses dents et celles de sa dulcinée. Ces milliards de millions, dont la France donne une part indécente, seraient peut-être mieux utilisés chez nous, pour que plus personne ne cesse de vivre le 3 de chaque mois et pour venir en aide aux turcs et aux syriens victimes des signes naturels que la terre envoie régulièrement à ceux qui l’occupe illégalement. Palmade est l’illustration même de l’ignorance et du dérèglement des psychismes. Sa vie - terminée - n’aura été que solitude. Vivre dans les écrans télés et cinématographiques, vivre sur une scène de théâtre parlé ou chanté, ne veut pas dire que l’on vit. La gloire et la célébrité sont les pires ennemis de l’homme. Pour vivre heureux, vivons cachés, me dit tous les matins ma voisine de palier avant que j’aille prendre mon café chez Leclerc…
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