Hier, je n’ai pas vu de manifestations. Hier, je n’ai pas vu de citoyens conscients se révolter contre la réforme scélérate des retraites. Hier, je n’ai pas vu le peuple furieux défiler dans les rues pour crier « à mort le tyran ! ». Hier, j’ai vu une poignée d’hommes en noir régner sur la France, tout saccager sur son passage et harceler la police du Roi, perdue, désarmée, désemparée et impuissante. J’ai vu l’impuissance au premier, au second et à tous les degrés du Roi de France, ado au psychisme inabouti et, de plus, lâche et veule, qui a fui en Chine pour ne pas voir le carnage et ne pas mettre sa tête en danger. Et sur ce désastre, les journalistes de tous bords en rajoutent en mentant éhontément et en soufflant sur les braises de cette France prisonnière des flammes. Loge, le seul qui puisse faire cesser cette folie, est absent. Il a compris que s’occuper des affaires des hommes, c’était perdre son temps. Le mal-être du pays n’est dû qu’à un seul personnage de mauvais théâtre : Macron et rien que Macron, l’enfant dégénéré pour qui des stupides et ignorants votants ont voté.
J’hésite toujours entre saxhorn et euphonium. Amazon vend un
saxhorn baryton à 4 pistons et en sib pour une miette de pain. Je vais peut-être
me laisser tenter.
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