Les informations fusent en tsunamis permanents. Reprises en boucles pendant des heures - voir des jours - par des médias d’opinions différentes, contraires, elles sont mâchées, décortiquées, disséquées, fracturées, dépecées, déconstruites et réduites à la platitude d’une crêpe sans sa pâte. En Savoie, un paumé récidiviste a massacré son ex-femme. Il n’y a pas à commenter. Le criminel doit rejoindre l’asile psychiatrique pour y conclure sa vie. Dans l’affaire Traoré, les trois policiers incriminés ont obtenu un non-lieu. Cela me parait juste. Et les cris effarouchés de sa sœur, celle qui une meule de foin sur la tête, me paraissent déplacés. Idem dans l’affaire Hedi où la remise en liberté du policier « coupable » d’avoir fait son travail, me parait être une chose sensée. Quant à l’affaire « abaya », j’attends lundi matin avec impatience. Le Roi et Attal ont raison - c’est la première fois en 80 ans que je soutiens un gouvernement - : il faut bouter hors de France tous ces emmerdeurs de religieux, tous, musulmans en tête. Tout le monde sait - sauf ceux qui ne veulent pas savoir - ce qui est caché derrière un arbre qui cache une forêt. La folie du monde s’amplifie, grossit, devient énorme et chacun vaque tranquillement. La surprise va être surprenante. Chouette ! Encore plus chouette : je vous laisse. Je cours chez mon Leclerc prendre mon café, en ne manquant pas de passer saluer ma voisine de palier. Le meilleur moment de la journée.
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