Quand on voit qu’on ferme une fac, un lieu de connaissance et
de savoir, sous le prétexte que trois ou quatre minables ont installé leur étal
de vendeur de cocaïne et dérivés, devant la porte de l’établissement d’enseignement,
on ne peut que s’interroger sur l’immonde lâcheté de l’État et ici sur l’état
psychique du maire socialo-écolo de Marseille, ville gangrénée par les
racailles en tous genres où l’on trouve, sans chercher, la mort à chaque coin
de rue. On nous rebat les oreilles avec les ukrainiens et même les arméniens,
alors que la ville du chatoiement et caresses des couleurs et des senteurs de l’immigration
intempestive et criminelle, devrait être la priorité des priorités. L’avion a
perdu ses ailes. Les parachutes de s’ouvrent plus. Et le Roi, l’ado au
psychisme inabouti, continue de distiller ses mensonges incongrus sans que
quiconque propose son éviction à coups de bâton. Dans les radios et télés,
les débats font rage et chacun y va de son coupable. Ce qui est curieux –
vraiment curieux, même très curieux -, c’est que jamais, on entend parler de la
culpabilité exclusive des parents qui doivent accomplir une tâche complexe sans
jamais avoir été formés. Quand on ne sait pas et quand on ne peut pas, faute de
moyens, on s’abstient. Comment s’apitoyer sur ces femmes seules qui doivent
élever trois, quatre, cinq, six ou dix enfants avec un salaire de femme de
ménage, sans savoir très exactement pourquoi elles ont des enfants, en nombre
très souvent, et pourquoi elles sont seules. Pondre n’a jamais été une obligation. La copulation
non plus. Le mariage/divorce non plus. Comment peut-on tolérer cette situation
inextricable ? Être parents est une immense responsabilité et ceci s’apprend.
Combien de couples pondent et pondent à répétition, sans se préoccuper de la
suite ? Où sont les couples qui ont appris le psychisme de l’enfant et la
manière de l’aborder. Où sont les couples qui ont lu et compris Dolto à défaut
d’avoir fait un tour chez Freud, avant de passer à l’acte ? La famille, c’est
la misère, le mensonge, le déni, l’orgie malsaine bien cachée derrière des mus
de la maison ou des cages à lapins des cités. Le jour où l’on comprendra que
tant que l’enfant n’a pas atteint 14 ou 15 ans, la femme – la mère – doit rester
à la maison pour s’occuper de sa progéniture, un premier petit pas aura été
accompli en faveur de son épanouissement. Les nounous et surtout les grands-parents, sont des obstacles à l’évolution psychique de l’enfant qui n’est
que la chaire d’une femme, la chaire de celle qui l’a porté. C’est à elle que
revient toutes responsabilités. C’est à elle de donner à l’homme les clés de la
relation avec l’enfant.
Nous sommes loin de tout ceci. Les peuplades étrangères nous
envahissent et bientôt, nous suffoquerons sous les poids des pontes à gogo. Moi,
je ne serai plus là. Bonne chance !
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