jeudi 5 octobre 2023

vu à travers le tube • de l’obscur au noir…

Quand on voit qu’on ferme une fac, un lieu de connaissance et de savoir, sous le prétexte que trois ou quatre minables ont installé leur étal de vendeur de cocaïne et dérivés, devant la porte de l’établissement d’enseignement, on ne peut que s’interroger sur l’immonde lâcheté de l’État et ici sur l’état psychique du maire socialo-écolo de Marseille, ville gangrénée par les racailles en tous genres où l’on trouve, sans chercher, la mort à chaque coin de rue. On nous rebat les oreilles avec les ukrainiens et même les arméniens, alors que la ville du chatoiement et caresses des couleurs et des senteurs de l’immigration intempestive et criminelle, devrait être la priorité des priorités. L’avion a perdu ses ailes. Les parachutes de s’ouvrent plus. Et le Roi, l’ado au psychisme inabouti, continue de distiller ses mensonges incongrus sans que quiconque propose son éviction à coups de bâton. Dans les radios et télés, les débats font rage et chacun y va de son coupable. Ce qui est curieux – vraiment curieux, même très curieux -, c’est que jamais, on entend parler de la culpabilité exclusive des parents qui doivent accomplir une tâche complexe sans jamais avoir été formés. Quand on ne sait pas et quand on ne peut pas, faute de moyens, on s’abstient. Comment s’apitoyer sur ces femmes seules qui doivent élever trois, quatre, cinq, six ou dix enfants avec un salaire de femme de ménage, sans savoir très exactement pourquoi elles ont des enfants, en nombre très souvent, et pourquoi elles sont seules.  Pondre n’a jamais été une obligation. La copulation non plus. Le mariage/divorce non plus. Comment peut-on tolérer cette situation inextricable ? Être parents est une immense responsabilité et ceci s’apprend. Combien de couples pondent et pondent à répétition, sans se préoccuper de la suite ? Où sont les couples qui ont appris le psychisme de l’enfant et la manière de l’aborder. Où sont les couples qui ont lu et compris Dolto à défaut d’avoir fait un tour chez Freud, avant de passer à l’acte ? La famille, c’est la misère, le mensonge, le déni, l’orgie malsaine bien cachée derrière des mus de la maison ou des cages à lapins des cités. Le jour où l’on comprendra que tant que l’enfant n’a pas atteint 14 ou 15 ans, la femme – la mère – doit rester à la maison pour s’occuper de sa progéniture, un premier petit pas aura été accompli en faveur de son épanouissement. Les nounous et surtout les grands-parents, sont des obstacles à l’évolution psychique de l’enfant qui n’est que la chaire d’une femme, la chaire de celle qui l’a porté. C’est à elle que revient toutes responsabilités. C’est à elle de donner à l’homme les clés de la relation avec l’enfant.

 

Nous sommes loin de tout ceci. Les peuplades étrangères nous envahissent et bientôt, nous suffoquerons sous les poids des pontes à gogo. Moi, je ne serai plus là. Bonne chance !

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