Les choses sont pourtant claires. Les otages israéliens sont dans
le gruyère du sous-sol de Gaza. Tenter d’y pénétrer et d’abattre les
terroristes, pour les sauver, serait un massacre total et la mort des otages. Faire une pause,
comme le demande les ronds-de-cuir sirotant leur whisky, serait une perte de
temps – si précieuse – et un avantage considérable accordé à l'Hamas. L’homme n’a
pas la connaissance pour répondre à cette équation et c’est pourquoi cette
guerre qui va s’étendre à tout le continent et au-delà, et, comme toutes les
guerres, se terminera dans le sang avec, une fois encore, que des perdants. L’homme
aime la guerre. C’est sa nature première. Qu’il commence donc, devant son
miroir, à se demander pourquoi. Il en mourra d’effroi.
Il n’y a pas que Lazare qui a été ressuscité. Les Beatles
aussi. Ils étaient pourtant si bien sous la terre où on ne les entendait plus. J’espère
qu’ils vont penser à ressusciter Caruso, l’opéra manquant cruellement de ténor,
denrée aussi rare que le dinosaure.
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