Hier, à 16 heures pétantes, j’ai assisté au spectacle. Il était transmis en direct, à la télé, de l’hémicycle de la Comédie Nationale Française. C’était la fameuse pièce de Molière : « Les Tartuffes et les Hypocrites ». Dullin, Jouvet, Silmon, Cochet, Vitez, Mesguich, Chéreau, en tournée au Bolchoï, ont été remplacés par les concierges des maisons closes et des égouts parisiens. C’était affligeant. J’ai assisté à la célèbre bataille d’Hernani – une incroyable trahison du grand Molière - où les Montladsus et les Copulons s’entretuaient à la lame tranchante peinte en rouge sang, pour faire triompher leurs prétentions : pour les uns accueillir tous les migrants islamo-terroristes du monde et leur donner les pleins pouvoir, pour les autres, leur interdire de pénétrer notre sol et les repousser avec violences et conséquences. C’était mal joué. C’était hurlé. C’était vulgaire. C’était violent. C’était méchant. C’était bestiale. C’était mortifère. C’était un spectacle de bouchers en rut atteints de folies délirantes. En fait, si on réfléchit bien et si on est honnête avec soi-même, on s’aperçoit rapidement que la pièce de Molière – même très mal jouée - n’est que le reflet de l’imbécilité ravageuse des z'inhumains qui peuplent cette terre et qui ne servent strictement à rien.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire