vu à travers le tube • vivre mort…

En rapport avec le grand chaos qu’il vient de créer, le petit enfant caché sous les jupes de sa maman ne veut pas de dissolution – il aime trop ce grand orchestre de mauvais musiciens qui clapote toutes ses notes – et ne veut pas du 49.3 – Borne, Madame 49.3, en est toute commotionnée -. Il laisse sa loi scélérate dans les mains d’une commission mixte paritaire qui devrait revenir au texte du Sénat et advienne ce qui adviendra. La loi va être retirée et les français continueront de mourir sous les lames des couteaux islamistes avant de crever sous les lois de la charia. Je rappelle qu’en d’autres temps, le temps des convictions et du courage, les français ne se laissaient pas emmerder par la vermine. Ils prenaient les armes et tranchaient le cou des provocateurs. Aujourd’hui, on se gave de paroles avec des mots dont chacun invente sa propre signification. Ça ne peut valoir le bon tranchant d’une épée ou l’explosion magnifique d’un missile en plein derrière. La bêtise des hommes – Falstaff/Verdi -, la lâcheté des pouvoirs devant les religions – Don Carlos/Verdi -, les naïvetés des peuples – Boris Godounov/Moussorgski -,  ça se passe à l’opéra, le lieu où l’on vous raconte l’infection du monde. Et si vous n’aimez pas l’opéra – la plus grave erreur de votre vie – tentez au moins de pousser la porte du cabinet de Freud. Il est vrai que vous y verrez pour la première fois votre visage et que vous ne pourrez le supporter. Alors, que faire sinon finir votre parcours comme vous l’avez commencé : vivant mort !