Que l’on regarde à droite, à gauche ou ailleurs, il n’y que guerres ou menaces. Détruire le monde semble être la jouissance suprême de tous les chefs de tous les pays. Et si on y rajoute la pluie qui veut rayer de la carte de nombreux villages et villes de France étouffés davantage par le béton que par les rivières qui sortent de leur lit, la guerre de succession chez les Delon, la guerre de la délation contre Depardieu, la guerre pour l’extermination de la musique classique, la guerre contre le mâle blanc, la guerre contre la civilisation blanche, la guerre triomphante menée par l’Islam et ses dérivés, la pitoyable guerre que mène la femme contre l’homme, la guerre des pensées, la guerre des relations, on comprend facilement que ce monde est invivable et l’on comprend, la morosité, le désespoir et la souffrance des peuples. Comment peut-on comprendre que Macron et Borne, vomis par la population, soit toujours au pouvoir ? Comment comprendre que l’on laisse Macron tenir, ce matin, son premier meeting de campagne pour les élections européennes – avec le plein d’huiles étrangères - ? Comment comprendre que les peuples ne cessent d’être manœuvrer ? A quoi servent donc ces soi-disant progrès scientifiques qui devaient libérer le monde et lui laisser le temps de savourer quelques une de ses tranches de vie ? L’échec est total et pas une solution ne pointe à l’horizon. Moi, je vous propose Freud et je suis le seul. Vous n’en voulez pas ! Et bien laissez-moi le plaisir d’observer votre chute vertigineuse dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Qui sème le vent récolte la tempête !
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