Le flop des manifestants à la loi immigration m’a été tout particulièrement réjouissant. Je ne paie pas mes nouvelles taxes sur l’électricité – que je ne sais pas comment je vais payer – pour nourrir des extra-civilisations qui jouent avec leurs opinels, troussent les femmes des métros et n’obéissent qu’aux lois de leur dieu imaginaire – comme tous les dieux, exceptés Wotan et Vénus -. Il est évident que les décideurs de la France, à tous les niveaux, veulent la mort ou la soumission totale du peuple, son avis n’ayant pas plus d’importance qu’un pet de mouches à pattes. Il est vrai qu’il y a bien longtemps que le peuple n’a plus d’avis et que ceux qui pensent en avoir, sont des abrutis qui reproduisent et reproduisent les éternelles erreurs de leurs ascendants. Le mensonge et le déni ont toujours dominé les mondes, mais aujourd’hui, c’est au grand jour, et sans aucune retenue, qu’ils s’expriment dans la violence la plus sordide. L’ado inabouti qui vit sous les jupes de sa maman a déconstruit la droite et la gauche et voilà que leurs fantômes ne cessent de s’injurier et de se provoquer. Personne ne gagnera parce que leur veulerie et leur ignorance les enferment dans les trous à rats des égouts de Paris. La chute de tous ses lâches dans le noir du trou du fond de mon puits est en voie d’achèvement. La lumière fuit, L’ombre gagne son pari. L’anéantissement de la vie sera le grand remplacement. Freud ne reviendra jamais. L’homme ne le mérite pas. Reste à s’accrocher à Mahler et Abbado, à Lucerne : un tout petit bout de ciel bleu avant de connaître le cimetière.
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