Vous élisez – pas moi, puisque que je ne me prête pas à ce jeu pervers - des malotrus fadasses, des combinards qui se foutent de votre gueule et qui passent leurs journées à mettre en place des plans pour garder le pouvoir. Ils installent le mensonge, la perversion, la discorde, la délation, sous votre nez. Et vous ne voyez rien, aveuglés par votre aveuglement. Votre discernement altéré vous empêche toute analyse objective et constructive. Vous n’êtes qu’un petit pion d’un vieux jeu de dames, tout juste bon à jeter lorsque le facteur vous livrera la nouvelle mouture virtualisée. Vous croyez être en démocratie alors que jamais elle n’a été inventée et que trône sur son trône, le pire des rois que la France a subi : un ado psychopathe qui imite l’Aiglon et ses soldats de plomb, un enfant au psychisme inabouti, qui voit la France au travers des jupes de sa maman épousée. Et vous faites confiance à ce guignol de théâtre qui ignore tout des aléas de la vie. Réveillez-vous français ! La guerre est à notre porte. La crasse haineuse est à l’intérieur de la maison. Un pays qui laisse ses jeunes enfants jouer avec des Kalashnikov, maltraiter leurs enseignants, égorger leurs vieillards, est un pays mort, mort par votre faute, mort par votre négligence et par votre ignorance. Vous avez jeté Freud et vous avez fait l’ERREUR. Vous n’allez pas le payer. Vous le payez. Et ce n’est que le commencement des réjouissances.
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