vendredi 10 mai 2024

vu à travers le tube • freud, swift et l’enfant…

François Berléand : « L’analyse freudienne que j’ai faite à l’âge de 40 ans m’a permis de comprendre le pouvoir des mots. » Où l’on peut remarquer, si l’on pense, que je ne suis plus seul à être du côté de Freud. Désormais, nous sommes deux, en attendant la prise de conscience des foules qui se fera obligatoirement quand les marionnettes manipulées auront poussé la porte de son cabinet pour y chercher leur miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. L’individu pourra alors prendre le bon chemin, celui qui auréolera sa personnalité et le mettra en phase avec ses autres entités.

 

On me dit que des milliards d’individus attentent, depuis quatre, cinq ou six décennies, le retour sur scène d’une certaine Taylor Swift, dont j’ignorais l’existence et dont jamais qui que ce soit ne m’en a parlé. Un petit tour vite fait sur Wikipédia et YouTube pour constater son ignoble nullité. Et les foules se pâment devant cette merde absolue ! J’ai été biberonné à Bach et Boulez et je suis tombé amoureux de Mozart et Webern. Alors, Swift ? Même pas une patte de mouche, égarée sur une tarte aux cerises !  

 

L’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France persiste et signe. Après la litanie des lois qu’il veut faire voter pour que le père divorcé retourne au foyer pour assurer les tâches ménagères.

et torcher le cul de la marmaille, voilà qu’il veut pondre une pile impressionnante de lois pour prévenir les conséquences de la ménopause. Jamais la France n’aura vécu une pareille aventure. L’Élysée est désormais occupé par un agent des sévices sociaux. Il est temps que l’individu en question se trouve un logement plus adéquat et que sa fiche de paie subisse le coup du ciseau.

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