Cette journée du 11 mai 2024 sera marquée – d’une part - par l’immonde bêtise de la frange gauchiste, islamiste et terroriste qui veut empêcher la candidate israélienne de chanter ce soir à l’Eurovision. On est revenu à la Saint-Barthélemy, à la terreur qui a glorifié la révolution avortée de 1789, aux massacres des indiens par les cowboys, et – d’autre part – par la stupéfaction, par la déception, par l’horreur, ressenties par les français suite à l’annonce du grand manitou de la balle aux pieds, de celui qui a passé sept longues années, immobile dans le coin gauche des terrains de foot et qui était payé énormément et gigantesquement pour courir plus vite que la lumière, sur environ trois mètres, en poussant le ballon dans la cage, ballon que ses subalternes lui apportait – de temps à autre – sur un plateau, pendant que le gardien fumait sa cigarette. Le farceur a annoncé sa démission-surprise, chose que tout le monde savait depuis un bon et très long bout de temps.
C’étaient les nouvelles importantes de la journée. Les restes ne sont que peccadilles : les guerres hiérarchisées, les criminels juvéniles, les drogues au supermarché, Paris emmuraillé, les gauches et les écolos complètement tarés, les trans, les queens, les sexes inversés, les enfants en plats à réchauffer, les cerveaux artificiels, les monstruosités des sciences en tous genres, la femme dépecée, l’homme couillonné, le ridicule triomphant, l’ignorance régnante aussi bien dans l’ombre que dans la lumière. Heureusement, il reste ces deux légendes qui posent la question et qui me tiennent debout dans ce monde grouillant et gluant : le parcours de Laura qui est more et pourtant bien vivante, et, l’or du fleuve arraché à son fondement, qui après son long voyage dans la vie pernicieuse des dieux et des hommes, retournera au fleuve. Une subtile lueur, avant la mort qui me presse.
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