La mise en scène malsaine de la Seine et de la Cène aura fait le tour du monde entier. Pas la mise en scène vue par ceux qui se compressaient en bord de Seine, mais celle qu’on a vue à la télé de l’État macroniste qui a montré ses limites en glorifiant les non-différentiations dont souffrent les psychopathes. Il y avait en effet deux mises en scène pour ce moment de vérité où les faux-semblants permanents sont tombés. Le public présent n’a vu que la moitié de ce qui passait à la télé où s’enchainait sans discernement le direct sur la Seine et les innombrables séquences filmés les heures précédentes. De ma campagne, à des milliers de kilomètres de Paris, j’ai vu Brakatamounba hypnotiser la garde montante. J’ai vu les trucs en plume dans l’ombre de Zizi jambe en l’air. J’ai vu Kantorow danser sous la pluie. J’ai vu l’apparition de Céline dans la grotte de Lourdes. J’ai vu les orgies des désexualisés du XXIe siècle si chères à l’enfant inabouti qui nous sert de Roi. J’ai vu la descente vertigineuse de la France et du monde dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Je n’aurais rien remarqué si nombres d’imbéciles n’avaient pas répété depuis des mois que les jeux du cirque était le seul lieu où les valeurs étaient magnifiées et où les individus étaient réconciliés pour l’éternité. C’est raté !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire