mercredi 25 septembre 2024

vu à travers le tube • les larmes vont couler…

Les films d’horreurs ont déserté le cinéma, sont sortis de l’écran et descendus dans les salles pour violenter les spectateurs. L’horreur culmine de partout.

 

D’abord ces reptiles arrogants qui caricaturent l’image d’un soi-disant gouvernement encore pire que le précédent qui était encore pire que le précédent et qui aura sorti en quarante-huit heures plus de crétineries que la totalité de celles sorties depuis François 1e et qui est vilipendé de toutes parts parce que Barnier a osé y introduire la statut de pierre du Commandeur qui est si grande et si imposante – par la parole pour le moment – qu’elle met dans le noir absolu tout ce qui se trouve dans son périmètre infini. L’énergie de Retailleau est fascinante, mais elle n’est que de l’énergie, énergie qui risque fortement de se dissiper sous les coups bas du wokiste socialo-laxiste Migaud, sans que l’enfant au psychisme inabouti ne pipe mot parce qu’il n’a pas le temps. Il est trop difficile pour lui, de sortir des jupes de sa maman que pourtant, il a épousé. En aparté, chapeau à Barnier qui a téléphoné à Le Pen pour s’excuser des minables propos d’un de ses subordonnés.

 

Ensuite, ce meurtre de Phillipine par – encore – un étranger venu du Maroc qui a déjà fait de la prison pour viol et qui n’aurait pas dû se trouver sur le sol français si la Justice je-m’en-foutiste de Dupond-M. renvoyé dans ses foyers, ne cessait d’organiser le bordel depuis plus de quarante ans. Et ce n’est pas avec le nouveau Garde des Sceaux qu’elle va prendre conscience de son ignorance qui lui fait confondre délinquants et braves gens. Grâce à toutes les gauches devenues le foyer des déliquescences, avec à leurs têtes (vides) Mélen-Chien, ses chiottes et ses chiots, la France est sous la menace d’un Hamas hezbollahien et d’un Hezbollah hamasien bien de chez nous qui collent aux peaux comme le sparadrap d’Hadock et dont personne ne veut se débarrasser et qui, par conséquence seront bientôt au pouvoir, quoiqu’on dise et quoiqu’on fasse. Bientôt, les larmes vont couler.


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