vendredi 4 octobre 2024

le puits au fond du jardin • l’être humain me dégoute…

 



 

La dure actualité se bétonise. Il devient impossible de faire les différenciations, le tout étant noyé dans le noir le plus profond, tel celui de mon puits au fond de mon jardin. La justice libère l’assassin d’une fillette de quatre ans avec deux ans d’avance. Je ne sais dans quel coin de France, un étranger squatte une maison et la transforme en une plateforme de vente de produits hallucinants, sous les yeux des habitants et sous l’œil indifférent de ceux qui doivent faire respecter la loi. Il ne se passe pas un jour sans son lot de meurtres au couteau ou à la kalachnikov. Les cartels et les musulmans prennent possession du territoire sans que quiconque se pose la moindre question. Le nouveau ministre de l’Intérieur semble très déterminé dans sa volonté de châtier la vermine. Il se fait assassiner, même dans son propre camp. Et puis, Sciences Po, l’école de prestige qui forme les futurs dirigeants, est violentée et déshonorée par des jeunes crétins voyous qui hurlent des slogans qui les marquent à jamais du sceau de l’ignorance la plus crade et la plus dégradante. Le directeur de l’établissement est absent. Le ministre concerné aussi. Les professeurs se réfugient dans les toilettes. Le Roi de France tourne la tête. Qui va oser s’emparer de ces grosses merdes pour les exposer nus, aux pieds de la Tour Eiffel et leur faire subir le châtiment du fouet qui est un excellent moyen de faire circuler le sang impure qui abreuve leurs sillons.

 

Je pense ce que j’écris. Mais, je pense aussi que si les parents avaient appris avant de pondre et que si Freud était au centre des préoccupations de chacun, nous n’en serions pas là, tout en bas, dans le trou, dans l’enfer des excréments. Pouah ! L’être humain me dégoute.

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