Dois-je encore écrire sur les abominations de l’enfant handicapé que vous avez mis au pouvoir ? Hier, il est parti se balader au Maroc, pour trois jours – avec tout un régiment de verrues et de souches de champignons dont le terroriste Bellatar, main dans la main avec maman, ceci, grâce à votre compte en banque qui n’en demandait pas tant. Vous vous faites humilier toutes les demi-heures et vous ne sortez pas de votre léthargie, d’autant qu’à l’Assemblée les enfants des crèches abandonnées se chipotent pour savoir qui sera le premier à mettre son pouce dans le pot de confiture. Le désastre est complet parce que l’homme a disparu sous les tsunamis de son ignorance. Avant de tout reconstruire, si cela en vaut la peine, c’est l’homme qu’il faut réinventer en disséquant les morceaux de son psychisme, disséminés sur les pavés couverts de détritus. Il ne peut y avoir que Freud pour solution, Freud dont chaque individu devrait pousser la porte de son cabinet pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser. Les démocraties – toujours pas inventées – sont un échec cuisant. Elles permettent aux minorités criminelles d’avoir tous pouvoirs sur les majorités anesthésiées par les convenances puériles. Freud ou rien. Vous avez choisi rien. Tant pis. C’est votre problème. Pour ma part, avant de travailler ma gamme de fa modale sur mon saxhorn baryton en si bémol et à quatre pistons, je vais mettre mon pantalon et courir prendre mon café chez mon Leclerc, non sans être passé chez ma voisine de palier pour la saluer.
PS : Je vais bientôt substituer à mon saxhorn, un euphonium en si bémol et aussi à quatre pistons.
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