jeudi 28 novembre 2024

vu à travers le tube • une histoire d’ânes…

Finalement le vieux Barnier aura échoué. J’anticipe peut-être. Le budget ne sera pas voté. Le 49.3 sera appliqué et la motion de censure aura raison du gouvernement qu’il a fallu des mois pour faire accoucher. La destruction du pays voulue par l’enfant au psychisme inachevé qui nous sert de roi aura aboutie. Il ne reste que la démission du petit garçon que le monde attend depuis sept longues années. Il ne démissionnera pas le bougre, sauf si une main de fer ne le propulse hors des frontières de l’univers. C’est lui le coupable. Le seul. C’est lui le grand malade, que même un enfant des écoles peut déceler à l’œil nu. Personne n’aurait donc été alerté par sa perversité, par sa sournoiserie, par son bottage en touche permanent, par ses caresses perfides, par ses tirades cornéliennes, par son narcissisme, par son incommunicabilité chronique en raison de son sur-moi inquisiteur ? Par deux fois les français l’ont choisi par défaut ce qui fait de lui un usurpateur. La France ne peut guérir des plaies qu’il lui a infligées sur les plaies – précisément – infligées par ses prédécesseurs. Les ânes criaient que la constitution du militaire à la retraite était infaillible et garantissait la stabilité. Les ânes se sont lourdement trompés. Et aujourd’hui, les ânes n’ont que ce qu’ils méritent. Eux aussi, ils ne s’en relèveront pas.    


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