Ce que demandent les mahorais, ce n’est pas qu’en ce lundi 23 décembre 2024, la France revête son vêtement de deuil et pleure à chauds de larmes sur les promesses non tenues d’un enfant psychopathe, ils demandent du pain, de l’eau et un toit, éléments fondamentaux qui leurs sont refusés depuis des décennies. Et puis, ils demandent aussi qu’on jette dans l’océan les hordes de sauvages qui les violent et les massacrent pour prendre leur place et régner sur leur territoire. Rien ne se fera là-bas ni ailleurs. Et ceux qui pensent le contraire doivent aller à l’école.
Et le gouvernement du mou Bayrou ? Il en est où ? Et quand il sera, s’il en est un jour, quelle sera la durée de sa vie ? Si les français avaient des couilles, ils nommeraient Rotailleau dictateur, pour sauver le pays de la maladie qui le ronge depuis qu’une poignée de terroristes mélenchonistes ont séparé la tête du corps de Louix XVI, le roi bien-aimé des français et aussi, et c’est idem, de sa délicieuse Marie-Antoinette. Mais les français ne feront rien. Ils sont naïfs et lâches et atteints par le mou bayrousien.
Hier soir, sur une de mes 400 chaines télés, j’ai revu « Florence Foster Jenkins » de Stephen Frears. Je le préfère à celui de Giannoli parce qu’il est plus caustique, plus violent, plus théâtrale, plus humour anglais, plus réaliste et plus émouvant. Et puis, il y a le pianiste… irrésistible ! C’est une histoire vraie. C’est une tranche de vie de notre société. C’est la laideur et la puanteur que notre miroir nous renvoie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire