Alors que Macron embrasse, étreint et caresse François qui lui aurait bien mis son poing sur la gueule, Mayotte attend que la France, responsable du désastre causé par Chido, se bouge le cul, ce qui lui est très difficile tellement il est gros. Mayotte est depuis le début des temps sur la route des cyclones et jamais personne, dont et essentiellement les monarchies françaises, celle d’aujourd’hui encore moins que celles d’hier, ne s’est attaqué à ce phénomène dévastateur pour sa population. Quand on colonise et s’approprie un bout de terre, la moindre des choses est d’en prendre soin. Mayotte a toujours été une terre de misère où les voyous, des plus petits aux plus grands, font la pluie et le beau temps. Et quand la pluie étrangère – et ses complices impitoyables – débarque sur l’ile, la catastrophe est sans limite. Il y a sans doute des milliers de morts et on persiste à nous en annoncer quatorze. Les secours arrivent de je ne sais où et par bateaux qui mettront des jours et des jours avant d’accoster, ce qui ne laisse aucune chance aux morts qui pourraient éventuellement reprendre un peu de souffle. Chido a bon dos. Le seul coupable est Macron et tous ses prédécesseurs qui n’ont pas été capables de protéger ceux qu’ils ont pris en esclavage.
Les libraires sont de plus en plus nombreux à retirer de leurs rayons les livres des mal-pensants, ceux de ceux qui ouvrent les yeux sur les dangers de l’islamisme, sur la folie de Mélenchon, sur la psychopathie de Macron, sur l’imbécilité des wokistes, sur la naïveté des écologistes, sur les ignominies de la transition et sur l’ignorance générale du genre humain. En librairie, on ne trouve plus que les déchets que l’on trouve tout aussi bien dans les bavoirs des étables. C’est pourquoi j’ai choisi Amazon pour libraire et aussi pour disquaire et aussi pour plein d’autres bonnes choses comme le dernier aspirateur qui aspire même quand il n’y a pas de poussière, et de plus, livré à domicile en une demi-journée. Et pour nourrir mon estomac, j’ai choisi Leclerc, d’autant que je peux y prendre mon café après avoir salué ma voisine de palier. Au diable les commerçant qui ne cessent de faire la gueule et ne disent jamais bonjour… quand leur boutique est ouverte !
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