lundi 30 décembre 2024

vu à travers le tube • les sauvages et kaufmann…

 

100 000 policiers et gendarmes vont être de service, le soir du réveillon, pour tenter d’intercepter les populations très fournies de voyous qui vont malmener les bien et les personnes. Ceux qui sont dans la page et non dans la marge ont déjà commencé et beaucoup crient les slogans : « On va les tuer ! »  Et depuis quelques années, certains même, des ânes gauchistes et islamistes illuminés par Mélenchon, manifestent en portant des pancartes « La police tue ! » Soyons claire, juste et sans pitié. Cette race n’a rien à faire sur la terre. Si à chacune de leurs apparitions la police tirait à vue et à balles réelles, leur nombre diminuerait considérablement jusqu’à disparition. Et ce ne serait que justice, une justice juste. Mais, jamais cela ne se fera pas, parce qu’on est à la mode du respect de l’irrespectueux et des droits des criminels, au détriment des droits de l’homme.

 

Chanter Turandot n’est pas une mince affaire pour le couple vedette, les voix étant sans cesse tendues à l’extrême. Mais, tout de même, avant, dans les années de ma jeunesse, Corelli, Bergonzi, di Stefano, Domingo, faisaient front sans marquer la moindre peine, dans le respect de la nuance et de la musicalité. Au Staatsoper de Vienne, Kaufmann a crié ses notes les unes après les autres et le miracle est qu’elles aient toutes été émises. Mais le voir forcer ainsi mettait fort mal à l’aise. Le rôle n’est plus dans ses cordes et nous allons devoir attendre qu’il soit un authentique baryton à la Tito Gobbi. Sa partenaire, la princesse râleuse et revêche, ne chantait pas si mal, mais elle était trop belle déguisée en Mélisande. Quant à Armiliato, il aurait pu éviter d’étirer les mouvements, cela aurait facilité la tâche à tout le monde. Bref, l’opéra s’est arrêté dans les années 1960. Depuis, qu’en reste-t-il ?   

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