dimanche 1 décembre 2024

vu à travers le tube • un dimanche de décembre…

 

Ce dimanche est un jour de fête. C’est le premier – celui qui est en tête – du mois de décembre, celui qui n’apparait qu’une fois par an. C’est pourquoi je n’aborderai que des sujets légers et sans intérêts pour ne pas gâcher la fête. Le cercle de la guerre ne cesse de s’agrandir au point qu’il a quasi englobé le volume de la sphère. Les terroristes islamiques de le Hayat Tahrir al-Sham ont terrorisé l’armée du président terroriste syrien, Bachar al-Assad ce qui ne fait que confirmer l’éternelisation et l’élargissement des conflits sur cette petite boule ronde couverte des crasses crasseuses à souhait, inventées par l’homme lézardé. Et, bien pire, le duel entre Moreau et Morini-Bosc s’est terminé dans le sang. L’une prétendait que le couple Karembeu-Lavoine qui s’embrassent et se caressent à tout-bout-de-champ dans les écrans télés dans un élan d’immense dégout de stupidité, est beau et touchant et l’autre, pas. Moi, je pense comme l’autre. C’est dégoutant de voir ces deux vieux se donner en spectacle dans une chorégraphie affligeante. Je comprends bien que c’est comme ça aujourd’hui, que les beaux sont moches et que les laids sont des chefs-d’œuvre à la Leonard de Vinci. Et c’est bien normal puisque les femmes normales portent des pieux et que les hommes normaux façonnent dans leur ventre les nouveaux arrivants. Le gloubi-boulga cuit dans la mélasse ne pourra tenir vraiment longtemps. Il est temps d’anticiper si vous en êtes encore capable. Et ça, franchement, je ne le crois pas.    

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