mardi 14 janvier 2025

le puits au fond du jardin • le surréalisme triomphant…

 



 

Comment comprendre la situation surréaliste qui montre Bayrou en confidences permanentes et intimes avec Faure, le patron des socialistes acoquinés avec les islamistes mélenchonistes et les écologistes fous à lier ? Le départ à la retraite ne devrait être accordé qu’en fonction de la pénibilité du métier. 55 ans pour les travailleurs du bâtiment et les boulangers, 90 ans pour les bureaucrates, les gratte-papiers et les joueurs d’ordinateurs, 110 ans pour les bavards de la télé, invitants et invités. Tout est dit. Tout est réglé. Si Bayrou cède d’un seul petit pouce à ces salauds de gauchios qui appellent les pires des dictatures, il est foutu. S’il ne cède pas, il est encore foutu. Bayrou n’est rien, comme ses idées et ses avis, parce qu’au centre, on tombe toujours dans le vide. Les seules solutions pour ranimer la France à deux petits doigts de la mort, c’est la fin de la compassion, la fin des circonstances atténuantes, la dépolitisation de la Justice et de l’Éducation nationale, l’égalité devant l’impôt, le savoir, la culture, l’amour inconditionnel de Molière, de Mozart, de Van Gogh, le désir de laisser ses pieds enfoncés dans la terre, aux côtés des vieux chênes centenaires, et la mise à l’arrêt définitif des fonctions de l’enfant qui sert de roi à la France. Et pour cela, accomplir le nécessaire indispensable qu’est la rencontre avec Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Rien que ça, les restes n’étant que détritus pour les poubelles des rues de Paris.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire