dimanche 5 janvier 2025

le puits au fond du jardin • à vous de voir…



 

 

Vous connaissez tous la rengaine des politiciens français : « J’ai été élu démocratiquement ! » Un. Pour être élu démocratiquement, il faudrait que la Démocratie existe. Tout le monde l’attend depuis des millénaires. En vain, puisque l’inventeur n’est toujours pas né. Deux. Les stupides pantins ont tous été élus grâce à leurs mensonges qui sont plus que vérités chez les naïfs inconscients et ignorants. Trois. Le mode électoral n’est pas garant de vérité et de caution à toutes décisions. La seule vérité intrinsèque est : « Je commande, tu obéis et tu te tais. » La discussion, l’échange et la concertation sont des faux-semblants pour faire croire à la participation. Dans ce domaine, Macron est un champion. Karajan a conduit le Philharmonique de Berlin au succès. C’est parce qu’il a été, comme Toscanini, un chef dictateur et sans concession. Et cependant, en tant que socialiste authentique – nous sommes encore deux ou trois sur la planète -, je suggère que l’on pose la première pierre pour tenter un semblant de Démocratie : les prétendants à un poste à responsabilité proposent dix sujets sur une feuille de papier. Exemple : 1. Dès mon élection, et sur 3 jours, l’armée, la police et la gendarmerie jetterons à la mer tous les étrangers et tireront sur tous ceux qui tentent de s’échapper. Et si cela n’a pas été réalisé, l’élu sera arrêté et jeté dans les cachots de la nouvelle République pour un minimum de 20 ans.  Voilà ! Chacun prend ses responsabilités. Il y aura beaucoup moins de monde au portillon et surtout beaucoup moins de cons qui rêvent de monter sur les planches. Et que l’on cesse pour toujours les campagnes électorales, qui sont vraiment du trop mauvais cinéma. Et pendant que l’on y est, que l’on cesse aussi les débats télévisés où tout tourne en rond, sans jamais répondre aux plus profonds désirs des populations. Alors que l’on est sur la fin, c’est le dernier instant qu’il nous reste pour tenter de tout recommencer et de tout construire différemment. Mais d’abord, ne pas oublier le retour à la maison, le retour dans le ventre de la femme coupable, pour se remémorer l’instant de l’éjection sur le sol boueux et pierreux qui nous aura tant fait mal. Ensuite, ne pas omettre de se précipiter cher Freud où se cache notre miroir. Ce que je propose EST la solution. À vous de voir…  


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