Ces gauchiasses crotales notoires qui ont dansé sur le cadavre d’un homme dont le corps était encore chaud, ont bu jusqu’à la lie, hurlé leur haine ravageuse et déshonoré la France à tout jamais. Nous ne pouvons leur accorder notre pardon parce qu’ils savent ce qu’ils font. Insoumis, animaux de cirques caligulaïens, brutes épaisses et cervelles fracassées, leur place est au cachot à vie, rongés jusqu’au plus profond de leurs viscères par les gros rats puants d’Hidalgo. « Rien, absolument rien ne justifie qu’on danse sur un cadavre. La mort d’un homme, fût-il un adversaire politique, ne devrait inspirer que de la retenue et de la dignité. Ces scènes de liesse sont tout simplement honteuses. » (Bruno Retailleau). Le jugement dernier viendra bien un jour, et la race des racailles sera pendue par les pieds et tranchée de haut en bas sous l’œil des foules qu’elle a trompées et humiliées.
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